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Ces 17 candidatures doivent maintenant être validées par la Cour constitutionnelle. D'après le secrétaire général de cette institution, Antonin Mokoko, il s'agit d'un travail minutieux, et donc "il n'y a pas de date à fixer". Les citoyens qui ont donc fait acte de candidature à cette élection présidentielle, doivent être patients.
Les trois principaux prétendants à ce poste ont bel et bien inscrit leurs noms pour la cours du 12 juillet 2009. Il s'agit de Denis Sassou Nguesso, le président sortant, de Mathias Dzon, ancien ministre des finances et candidat de l'Alliance pour la république et la démocratie (ARD), ainsi que Ange Edouard Poungui, ancien Premier ministre et investi candidat de l'Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS, parti de l'ex-président Pascal Lissouba).
On note aussi dans le lot, deux candidats malheureux de la présidentielle de mars 2002, remportée par Sassou Nguesso avec près de 85% des suffrages supprimés. C'est Joseph Kignoumbi Kia Mboungou, candidat indépendant, sorti deuxième avec moins de 5% des suffrages, et Bonaventure Mizidi dont le résultat obtenu ne lui donne aucune chance d'être dans le carré des six premiers.
Depuis la retour de la démocratie dans le pays en 1992, aucune élection présidentielle n'a suscité autant de candidatures. En 1992, ils étaient 16, contre 6 en 2002. Cette année, on s'attendait même à 24 candidats selon les régistres des visites médicales, mais 5 d'entre eux n'ont pu déposer leur candidature. L'un d'eux, Me Kounkou, arrivé trop tard, n'a pu payer ses droits aux imopôts. Il parle d'une discrimination et appelle le juge constitutionnel a annulé cette décision prononcée au téléphone par la Direction générale des affaires électorale.
Selon le calendrier électoral, la campagne devrait commencer le 26 juin prochain. Ce qui signifie que quelque soient les conditions, la Cour devrait publier la liste définitive cette semaine.
Les trois principaux prétendants à ce poste ont bel et bien inscrit leurs noms pour la cours du 12 juillet 2009. Il s'agit de Denis Sassou Nguesso, le président sortant, de Mathias Dzon, ancien ministre des finances et candidat de l'Alliance pour la république et la démocratie (ARD), ainsi que Ange Edouard Poungui, ancien Premier ministre et investi candidat de l'Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS, parti de l'ex-président Pascal Lissouba).
On note aussi dans le lot, deux candidats malheureux de la présidentielle de mars 2002, remportée par Sassou Nguesso avec près de 85% des suffrages supprimés. C'est Joseph Kignoumbi Kia Mboungou, candidat indépendant, sorti deuxième avec moins de 5% des suffrages, et Bonaventure Mizidi dont le résultat obtenu ne lui donne aucune chance d'être dans le carré des six premiers.
Depuis la retour de la démocratie dans le pays en 1992, aucune élection présidentielle n'a suscité autant de candidatures. En 1992, ils étaient 16, contre 6 en 2002. Cette année, on s'attendait même à 24 candidats selon les régistres des visites médicales, mais 5 d'entre eux n'ont pu déposer leur candidature. L'un d'eux, Me Kounkou, arrivé trop tard, n'a pu payer ses droits aux imopôts. Il parle d'une discrimination et appelle le juge constitutionnel a annulé cette décision prononcée au téléphone par la Direction générale des affaires électorale.
Selon le calendrier électoral, la campagne devrait commencer le 26 juin prochain. Ce qui signifie que quelque soient les conditions, la Cour devrait publier la liste définitive cette semaine.