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terrAfrica, magazine et bimensuel congolais sera sur tablette dès ce 16 juin. C'est le tout premier journal congolais à être diffusé sur ce canal et à être disponible sur ce format. Ce jeudi au siège de ce journal, son rédacteur en chef, Christophe D'Antonio a fait l'annonce à la communauté de la presse congolaise, ainsi qu'aux nombreux lecteurs que compte le journal terrAfrica.
ça y est! Dès le 16 juin, et avec seulement 580 francs CFA, vous avez le numéro de terrAfrica de vitre choix sur tablette. Un numéro, le 13 est offert gratuit pour que tous les lecteurs s'en fassent une idée. Le journal a été mis sur tablette pour répondre à certains besoins, dont les demandes de la diaspora congolais, ayant entendu parler du journal, ne l'avaient jamais vu. Aujourd'hui donc, et grâce au format tablette, terrAfrica peut être lu dans les quatre coins du monde, au temps réel et au même titre que le Brazzavillois qui l'acquiert au kiosque.
Ce journal sera consultable sur des tablettes Apple et Android et très prochainement sur Smartphones. Depuis quelques amis, tous ces appareils de communication foisonnent la société congolaise. Les jeunes et les adultes d'une certaine éducation ne s'en passent plus de ces moyens de communication. Il est devenu la coutume, à chaque manifestation les Congolais filment avec leurs Ipad, même ceux qui ne savent pas le faire, nous brandissent les écrans de la tablette pour nous impressionner. Ce n'est pas une mauvaise chose, mais on en faire un peu plus si on peut directement lire terrAfrica sur ces tablettes.
terrAfrica, une année déjà! Conçu pour être à terme un hebdomadaire, ce magazine a pris place dans le sillage des Congolais, à en croire le nombre des abonnés. Le plus important, a expliqué Christophe D'Antonio, c'est que les premiers abonnés n'ont pas quitté le journal. C'est d'ailleurs sous leurs yeux que les annonceurs commencent à se faire un nom dans le journal. terrAfrica a donc pris son envol, après une année de travail sans relâche. Un travail effectué par une équipe plus ou moins permanente de 8 personnes, appuyée des pigistes sur l'ensemble du pays. Les photographes du Collectif Elili, apportent le meilleur de leurs photos pour illustrer les articles.